Duo de cœur à la ville, le top et l’acteur incarnent la nouvelle collection automne-hiver 2019-2020 de la griffe The Kooples. Madame Figaro a rencontré le top et l’acteur en juin. Où l’on en apprend plus sur leur vision du style, de l’amour… et les circonstances de leur rencontre. On a rendez-vous avec le mannequin et l’acteur dans un hôtel parisien raffiné. Blagueurs et complices, ils forment un couple parfaitement assorti, aussi rock que chic. Elle a dessiné un sac pour The Kooples et tous deux posent pour la marque. L’occasion de les faire parler amour du style… et amour tout court. Qu’est-ce qui vous a motivé à poser ensemble pour The Kooples ? Barbara Palvin : On n’aurait pas pu trouver une meilleure marque pour poser ensemble car ils mettent en scène de vrais couples depuis leurs tout débuts. Ça rendait les campagnes plus authentiques et fortes. J’aime aussi le mélange de références élégantes, punk et rock au sein de la marque. J’ai essayé de créer le sac dans cet esprit-là. Comment définiriez-vous votre style ? Dylan Sprouse : C’est un mélange d’influences rock, rockabilly et de vêtements utilitaires vintage. Je regarde des vieilles photos d’esthétique americana avec des militaires en vestes d’aviateur et bottes ou des joueurs de base-ball. J’adore le style venant d’anciennes époques. Mais il faut aussi que ce soit confortable et facile à porter. À New York, c’est plus facile, personne ne regarde comment tu t’habilles. Alors qu’à Los Angeles, il y a beaucoup de jugement. Les gens sont très critiques. Surtout à Hollywood. Barbara Palvin : Je peux changer de style tous les jours. Une fois ce sera très rock ou lendemain, “french chic”. Je suis mon humeur. Les vêtements sont un moyen de m’exprimer. Vous souvenez-vous la première fois que vous vous êtes rencontrés, quels vêtements vous portiez ? Barbara Palvin : C’était sur le red carpet, pour un événement. Je l’ai doublé et avec sa chemise rayée, je l’ai pris pour un vendeur de hot dogs ou de pop-corn. Dylan Sprouse : C’est une très belle chemise. Je l’ai toujours, et la dernière fois, tu m’as dit qu’elle était très belle ! Moi, je ne me souviens pas de comment elle était habillée. J’étais trop occupé à me contempler dans le reflet de ses yeux (rires). Je crois que c’était une belle robe, mais j’étais concentré sur son merveilleux visage que je voyais pour la première fois. Assortissez-vous vos tenues quand vous sortez lors d’un événement pro ? Barbara Palvin : Oui, on essaie, notamment au niveau des couleurs. Mais on ne portera pas le même sweat au même moment. Dylan Sprouse : Et elle me vole plein de pièces. Et on porte toujours les mêmes sous-vêtements. Non, je plaisante. Y-a-t-il une pièce que vous détestez dans le dressing de l’autre ? Dylan Sprouse : Je n’aime pas ses grands polos pour dormir qu’elle a hérités de sa famille… ou de moi. J’aimerais bien les jeter à la poubelle. Barbara Palvin : La fameuse chemise de notre rencontre ! Et celle que vous lui piqueriez bien ? Dylan Sprouse : Elle me vole toutes mes chaussettes. Barbara Palvin : Oui, mais c’est moi qui te les achète. Alors c’est un juste retour des choses… |